Que bénéficie le Burundi du Protocole de Nagoya et la Convention CITES?

Dans sa mission de la protection et la conservation de l'environnement, l'#Office Burundaise pour la Protection de l'Environnement (#OBPE), a tenu une séance de sensibilisation à l'endroit des chercheurs ,des cadres des gardes frontières et agents issus de cette institution sur le #Protocole de Nagoya et la #Convention CITES, ce 8 Mais 2024.

Ces catégories des participants étaient à Bujumbura dans l'optique d'etre sensibilisées sur la mise en application du. #Protocole de Nagoya et la #Convention CITES que le #Burundi a ratifié.

Pour le #Directeur Général de l'#OBPE, HATUNGIMANA Berchmans,

La situation actuelle sur la mise en application des dites convention s présente des lacunes du fait que les institutions ayant l'habilité de réguler le commerce international des espèces animales et plantes ne se fasse pas comme prévue par les textes internationaux pour garantir le développement durable issus des ressources génétiques qui existent sur le sol burundais.

Il a indiqué que ces lacunes sont souvent dûs au manque de l'information et du personnel qualifié dans le domaine pour assurer un bon contrôle de ce commerce. Ajoute -il que cette séance de sensibilisation à l'endroit de ces cadres issus de cariées institutions beaucoup plus concernés va permettre la mise en place effective du #Protocole de #Nagoya et la #Convention CITES. Ensuite, il a rappelé que ces séances vont être multipliées aux cadres susceptibles de garantir la mise en application effective de ces conventions.

Cette séance de sensibilisation a été marquée par des exposés expliquant le rôle et l'importance du #Protocole de #Nagoya d'ou celui-ci vise un partage équitable des avantages découlant de l'utilisation des ressources génétiques comme des plantes , des animaux et des bactéries ou autre organisme existant sur le territoire burundais.

Selon un des panelistes, , #Longin Ndayikeza, le commerce de certaines espèces échappent à la vigilance des gardes frontières ou de l'#OBR voir même des agents de l'#OBPE dû au manque de l'information de l'importance des espèces ou par la malignité de certains gens qui pratiquent ce commerce que ne bénéficie rien à la nation pays.

Il a précisé que l'#OBPE compte disposer le personnel qualifié sur les quatres postes frontaliers dont (#Gasenyi, #Gatumba ,#Kobero et #Nemba) pour garantir le contrôle et la mise en application de ces conventions internationales.

Qu' aux deux panelistes dont Odette Manirakiza et Delatus Niyongabo , l'une a souligné sur l'importance du respect des textes régissant le commerce des espèces pourque le pays en tire des profils qui pouvant bénéficier toute nation au lieu qu'une personne s'accapare seule ces profils.

Pour Niyongabo Delatus, la #Convention CITES, est régi par les textes internationaux montrant comment l'importation net l'exportation voir même l'introduction des espèces doit être faite, il a indiqué que toute espèce vendue , doit avoir document délivré par le pays d'origine et transitoire jusqu' au pays de destination, donc la #Convention CITES exige qu'il ait un document "permis" pour chaque espèce traversant les frontières.

#L'homme dépend toujours de la nature pour sa survie

Objectifs d'Aichi
12.1. Extinction of known threatened species has been prevented
16.2. The Nagoya Protocol is operational, consistent with national legislation
Burundi